Il est tellement devenu un lieu commun de dire qu'au Québec tout a commencé au début des années 60, qu'on hésite maintenant à utiliser cette formule. Et pourtant, c'est aussi le cas de la recherche dans le domaine de l'alcoolisme.
C'est effectivement avec la création du Comité d'études et d'information sur l'alcoolisme (CEIA1), au ministère de la Famille et du Bien-être social2, en mars 1961, que furent entreprises au Québec les premières recherches sociales sur le problème de l'alcoolisme. La nomination de Marc-Adélard Tremblay, professeur à la Faculté des sciences sociales de l'Université Laval, à titre de directeur scientifique de ce comité indiquait sans ambages les intentions des responsables de ce nouvel organisme. L'alcoolisme devenait, au Québec comme il avait commencé à l'être ailleurs, objet d'étude et de connaissance pour intervenir le plus efficacement possible, tant auprès de ceux pour qui la consommation d'alcool était devenue un problème que de ceux qui pouvaient bénéficier d'une intervention préventive.
Pour qui n'a pas connu cette époque de l'histoire du Québec, il est difficile d'imaginer qu'il s'agissait là d'un tournant historique dans la façon de concevoir et de traiter le problème de l'alcoolisme dans notre société. Voici comment, avec une note quelque peu caricaturale, on décrivait la situation à l'époque : « Au Québec, à cause de circonstances culturelles facilement identifiables, l'approche moraliste persiste dans plusieurs milieux, et il est très audacieux pour le chercheur de vouloir s'introduire dans ce champ sacré réservé à l'apostolat des âmes d'élite » (Bernard et Laforest, 1966).
Pour bien comprendre le contexte, retraçons très rapidement les principaux jalons historiques. La lutte contre l'alcoolisme, ou « l'ivrognerie », avait été jusqu'alors l'apanage exclusif de leaders religieux. Sans remonter à monseigneur de Laval qui voyait dans l'ivrognerie un des obstacles majeurs au projet de l'établissement en Nouvelle-France d'une société religieuse idéale (voir Bernard, 1968), rappelons trois grands moments de cette lutte.
D'abord la grande croisade de tempérance de 1840 à 1855. Sous l'égide de la croix noire de la tempérance et la conduite de grands prédicateurs, tels Charles Chiniquy, monseigneur Forbin-Janson, le grand vicaire Alexis Mailloux, monseigneur Ignace Bourget, le curé Édouard Quertier, pour ne nommer que les principaux, elle constitua une première structuration de l'action antialcoolique au Canada français. L'objectif était de lutter contre « le mal capital de ce pays », qui menaçait la religion. Le remède proposé était lui aussi religieux, à savoir l'établissement de sociétés de tempérance qui seules pourraient faire régner « l'inestimable vertu de tempérance ».
Après le déclin rapide de cette première « croisade de tempérance » au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, on vit ressurgir la lutte au début du XXe siècle (1905-1920), toujours essentiellement d'inspiration religieuse, mais qui cette fois se termina par une mesure légale votée par le gouvernement Gouin en 1919 : la prohibition générale.
Enfin, le mouvement Lacordaire prit la relève vers le début des années 40 et fut le dernier grand mouvement religieux de lutte contre l'alcoolisme et l'alcool. Comme dans les mouvements précédents, les membres y faisaient une promesse d'abstinence totale et s'engageaient dans une lutte à finir contre l'ennemi : l'alcool. Cependant, par rapport aux périodes antérieures, des éléments nouveaux apparurent : l'établissement par le mouvement Lacordaire en 1956 de la première clinique de traitement pour alcooliques (clinique Domrémy) et en 1958 de l'Institut d'étude sur l'alcoolisme. Ce furent en quelque sorte les premières interventions autres que religieuses face au problème de l'alcoolisme.
Tel était le contexte dans lequel s'inscrivait le mandat d'étude confié au CEIA, où M. Tremblay venait d'être nommé directeur scientifique, notamment pour superviser les travaux de recherche qui devaient y être entrepris.
Au début des années 60, la recherche en alcoolisme était surtout le fait de deux organismes internationalement reconnus : le Rutgers Center of Alcohol Studies à l'Université Rutgers au New Jersey (antérieurement le Yale Center of Alcohol Studies) et l'Alcoholism and Drug Addiction Research Foundation of Ontario (ADARFO). Le premier publiait deux instruments documentaires fort importants pour la recherche : le Classified Archives of Alcohol Studies et le Quarterly Journal of Studies on Alcohol. De son côté, l'ADARFO publiait régulièrement des rapports de recherche sur différents aspects de l'alcoolisme. Ce furent là nos premières références de recherche.
La première tâche de M. Tremblay au sein de ce nouveau comité fut donc de préparer un plan directeur des études sur l'alcoolisme (Tremblay, 1963), en collaboration avec l'équipe de recherche constituée de deux jeunes sociologues3 sortant tout juste du Département de sociologie de l'Université Laval.
L'objectif de ce plan était notamment de « définir les principaux éléments théoriques et méthodologiques nécessaires à la compréhension d'un schéma général de l'ensemble des travaux de recherche ». Il faut dire qu'il s'agissait alors d'un champ de recherche plutôt difficile à aborder, tant à cause de l'absence à peu près complète de tradition de recherche dans ce secteur au Québec que de la complexité même du problème, avec ses aspects physiologiques, psychologiques, culturels et du peu de convergence dans les schémas d'explication.
Une des fonctions du CEIA était en effet d'entreprendre des travaux sur des sujets tout à fait inexplorés dans notre milieu, de coordonner l'ensemble des efforts de recherche dans ce domaine et de préciser les champs de recherche les plus importants à l'exclusion des études de nature physiologique et psychiatrique, dont le Service médical sur l'alcoolisme, au ministère de la Santé, était responsable. Le plan directeur visait aussi à établir les priorités de recherche pour le Québec.
Le plan élaboré par M. Tremblay et son équipe présentait d'abord « quelques considérations théoriques et méthodologiques » principalement axées sur une clarification de la nature de la recherche fondamentale par rapport à celle de la « recherche d'application » et sur le rôle du chercheur par rapport à celui de l'homme d'action.
Les recherches effectuées devaient servir à recueillir des données concrètes sur le milieu canadien-français pour éclairer le Comité et le soutenir dans son action face aux problèmes suscités par l'usage abusif de l'alcool et lui permettre « de faire mieux, plus vite et à meilleur compte ». Compte tenu du contexte d'alors, M. Tremblay sentait toutefois le besoin de faire une mise en garde : un danger guettait le chercheur qui travaillait dans un tel milieu et en relation avec l'homme d'action, celui de faire de l'idéologie en se définissant par rapport à des critères non scientifiques (utilité à très courte période, nécessité de présenter des résultats spectaculaires le plus tôt possible, désir d'attirer l'admiration des profanes). Voilà un message qui visait sans doute à contrer une utilisation indue de la recherche. La collaboration entre le chercheur et l'homme d'action devait plutôt s'établir en tenant compte des critères professionnels auxquels chacun obéissait ; il fallait donc éviter d'élargir la compétence professionnelle d'un individu à des champs d'activité où il n'était qu'un simple profane, comme on le faisait souvent trop facilement.
Le plan directeur présentait par la suite deux façons d'aborder le problème de l'alcoolisme : d'une part, l'épidémiologie qui permettrait de connaître les cas dépistés, les cas non dépistés et en parallèle les contextes thérapeutiques, et, d'autre part, l'étiologie qui nous renseignerait sur les « causes », par le biais d'études sur les modèles de consommation, sur les déterminants sociaux de l'alcoolisme ainsi que sur les conséquences psychologiques et socioculturelles de l'alcoolisme. Une meilleure connaissance de l'étiologie et de l'importance des facteurs sociaux dans la genèse et l'évolution de l'alcoolisme permettrait d'établir des programmes de prévention et de réhabilitation plus efficaces.
L'élaboration d'un plan directeur de recherche comporte également la détermination d'un ordre de priorité dans la réalisation des projets. Dans cette perspective, pour une meilleure connaissance du processus pathologique, on proposait une première étude exploratoire sur une échantillon d'alcooliques. Dans le cadre d'un objectif général qui était d'établir la constellation des facteurs pathogènes et de découvrir la dynamique de leurs influences sur les différents troubles de comportement, M. Tremblay proposait d'étudier d'abord quelques-uns de ces facteurs, soit la famille, l'emploi et les tensions associées au genre de vie.
Une deuxième série d'études lui paraissaient prioritaires, soit des études monographiques sur certaines institutions et organismes qui s'intéressaient à l'alcoolisme dans notre milieu. On pourrait ainsi mieux connaître les conceptions courantes sur le sujet et les diverses thérapeutiques utilisées, ce qui permettrait de poser des diagnostics sur la situation actuelle et de proposer de nouvelles mesures.
Dans les années qui ont suivi la présentation de ce plan directeur, jusqu'en 19664, l'équipe de recherche du CEIA5, sous la direction de M. Tremblay, appuyée par plusieurs étudiants des sciences sociales, a réalisé une bonne partie des projets prévus. En voici quelques-uns.
À l'été 1964, dans six comtés du Bas-Saint-Laurent, a débuté une enquête auprès de 600 chefs de famille à qui a été administré un long questionnaire sur leur consommation d'alcool, leur vie familiale et conjugale, leur situation occupationnelle et financière, leur santé physique et mentale6. Cette étude visait notamment à « mesurer l'importance des facteurs sociologiques et culturels dans le processus de modelage du comportement de consommation et de formation des attitudes vis-à-vis de la consommation de l'alcool » (Laforest, 1968).
On effectua également un inventaire des sources d'information et des institutions de traitement pour les alcooliques du Québec (Bernard, 1964). On y constata qu'à l'exception de la désintoxication qu'ils pouvaient recevoir dans les hôpitaux généraux et des services offerts par quelques cliniques spécialisées, les alcooliques québécois ne disposaient pas alors d'un système adéquat de réhabilitation.
Des monographies furent réalisées : sur un bureau de consultation pour alcooliques d'une grande compagnie (Charest, 1964), sur une clinique externe pour alcooliques (Laforest, 1963), sur une maison Domrémy (Trottier, 1964) ; on effectua également une étude sur l'influence de la publicité des brasseries sur les usagers de la télévision (Langlois et Lessard, 1964).
Parallèlement à la réalisation de ces différents travaux de recherche, la présence de M. Tremblay comme directeur scientifique de l'équipe de recherche du CEIA permit d'amorcer certaines réflexions dans des secteurs connexes. Évoquons deux initiatives de cette nature, à titre illustratif.
La première fut une réflexion sur les relations entre la recherche et l'éducation dans le domaine de l'alcoolisme (Tremblay, 1968). La recherche permit notamment de définir les besoins particuliers d'auditoires précis, plutôt que de considérer l'ensemble des milieux sociaux comme des entités sociales homogènes. Elle permit également de choisir les techniques d'intervention sociale les plus efficaces pour atteindre ces mêmes auditoires. Enfin, la recherche évaluative put mesurer l'efficacité de ces programmes d'action, non seulement par rapport aux résultats atteints, mais également quant à « la valeur spécifique des divers programmes et des diverses techniques » (Tremblay, 1968).
La recherche dans le domaine de l'alcoolisme fut également l'occasion d'élargir la réflexion au secteur de la sociologie médicale. À l'instigation de M. Tremblay, un petit groupe de recherche en sociologie médicale7 s'était constitué en 1966. La courte existence de ce groupe aura tout de même permis d'amorcer une réflexion, sans doute parmi les premières dans notre milieu sur un élément central du système de santé, l'hôpital (Tremblay, 1966).
La contribution de Marc-Adélard Tremblay à la recherche en alcoolisme dans notre milieu a été non seulement importante pour le secteur lui-même qui s'ouvrait lentement à une approche plus « scientifique », mais elle a été également oeuvre de pionnier que l'on peut qualifier aujourd'hui de courageuse. En effet, le chercheur en sciences sociales qui tentait de s'insérer dans ce domaine devait alors affronter deux attitudes plutôt défavorables à la recherche sociale : l'une associée aux campagnes religieuses contre l'alcool et l'alcoolisme (alcoolisme-péché), l'autre, relativement nouvelle, développée autour de la notion d'alcoolisme-maladie, à la suite des travaux du docteur E. M. Jellinek (1960), vers la fin des années 50. Autant le chercheur en sciences sociales qui parlait en termes de déterminants sociaux de l'alcoolisme, d'aspects culturels, etc., pouvait être considéré comme une sorte d'iconoclaste par rapport aux valeurs religieuses profondes de la société canadienne-française, autant il risquait d'être accusé, par les nouveaux tenants de l'approche médicale du problème, d'intervenir dans un secteur qui le concerne plus ou moins.
Sans lui faire perdre sa rigueur scientifique, l'attitude conciliante de M. Tremblay a certainement aidé à réaliser des projets qui ont contribué à faire avancer les connaissances et à modifier profondément les conceptions qu'on avait alors de l'alcoolisme et de l'alcoolique. Le regroupement des différents organismes existants, effectué par la suite dans le cadre de l'OPTAT, fut l'occasion de poursuivre les changements amorcés. Deux événements significatifs témoignent du cheminement fait dans ce domaine au Québec au cours de la décennie 1960-1970. Le premier marque de toute évidence un tournant majeur dans la façon de concevoir et d'aborder le problème de l'alcoolisme dans notre société, c'est la publication par l'OPTAT (le nouvel organisme) d'une revue scientifique sur l'alcoolisme et les toxicomanies8, dont M. Tremblay fut l'un des membres du comité de rédaction. Cette publication de l'OPTAT était présentée en ces termes par le Directeur général :
À une époque où les toxicomanies prennent des proportions épidémiques, il importe de recourir à des techniques scientifiques pour améliorer nos méthodes de prévention et de traitement. Tout doit être constamment repensé, évalué, réorienté. Nous avons conscience que ces méthodes de prévention et de traitement doivent être l'objet continuel de nos recherches (Boudreau, 1968).
Un second événement démontre un rapprochement et une convergence d'orientation entre les chercheurs et les intervenants cliniques dans le domaine du traitement de l'alcoolisme : c'est l'acceptation par l'ensemble des cliniques pour alcooliques de se soumettre à une étude évaluative dont l'objectif général était « d'évaluer le degré de changement total survenu chez un échantillon représentatif des alcooliques traités dans les cliniques du Québec » (Bernard, 1969). La collecte de données faite pour cette recherche évaluative à l'été 1969 témoigne du niveau de collaboration qui s'était développé entre les chercheurs et les cliniciens.
Aujourd'hui, trente ans après le premier Plan directeur des recherches en alcoolisme au Québec, les organismes qui en ont été les premiers soutiens institutionnels (le CEIA et par la suite l'OPTAT) ayant depuis longtemps disparu, ne peut-on pas parler d'une certaine continuité dans la carrière de Marc-Adélard Tremblay, quand on le retrouve au cours des dernières années (1988-1992) à la présidence du Conseil québécois de la recherche sociale (CQRS), organisme de subvention qui consacre une partie appréciable de son budget à des projets de recherche sur l'alcoolisme et les toxicomanies ? Il est difficile de ne pas établir un lien entre la rédaction de ce premier plan, au début des années 60, et le développement que connaît aujourd'hui ce secteur de recherche.
1. Projet de loi no 12, sanctionné le 24 mars 1961.
2. Ce ministère était alors dirigé par M. Émilien Lafrance.
3. Lucien Laforest et moi-même.
4. En mai 1966, le ministre de la Famille et du Bien-être social, monsieur René Lévesque et le ministre de la Santé, monsieur Éric Kierans, acceptent la fusion, au sein du ministère de la Santé, de quatre organismes, dont le CEIA, pour former l'Office de la prévention et du traitement de l'alcoolisme et des autres toxicomanies (OPTAT), sous la direction du docteur André Boudreau. Cette fusion mettait fin à l'existence comme telle du CEIA.
5. Ces travaux se sont par la suite continués dans le cadre de l'OPTAT.
6. Du point de vue méthodologique, cette étude a pu tirer profit des expériences de M. Tremblay lors de deux vastes enquêtes dont il fut parmi les principaux responsables : L'étude des conditions de vie, des besoins et des aspirations de la famille canadienne-française d'aujourd'hui (voir Marc-Adélard Tremblay et Gérald Fortin, Les comportements économiques de la famille salariée du Québec,Québec, PUL, 1964) et le Stirling County Study of Psychiatric Disorder and Sociocultural Environment, dirigée par Alexander H. Leighton.
7. Lucien Laforest, Marc Fortier, Raymond Côté et Jean-Marc Bernard.
8. Toxicomanies, Revue publiée par l'Office de la prévention et du traitement de l'alcoolisme et des autres toxicomanies, vol. 1, no 1, janvier-avril 1968.
Bernard, J.-M., 1964. L'alcoolisme au Québec : inventaire des sources d'information et des institutions traitantes. Comité d'étude et d'information sur l'alcoolisme, Québec, ministère de la Famille et du Bien-être social.
Bernard, J.-M., 1968. « " Deux phases de l'antialcoolisme au Canada français (1840-1855 et 1905-1920) : essai d'interprétation sociologique ", », Toxicomanies. 1, 2, p. 135-166.
Bernard, J.-M., 1969. " L'évaluation du traitement de l'alcoolisme au Québec ",. (Note de recherche), Toxicomanies. 2, 3, p. 335-369.
Bernard, J.-M. et L. Laforest, 1966. « La recherche sur l'alcoolisme au Québec : un programme à long terme », Information sur l'alcoolisme, . Bulletin de l'Association des cliniques et des unités de réadaptation pour alcooliques, 2, 3.
Boudreau, A., 1964. « En guise de préface », Toxicomanies. 1, 1, p. 9.
Charest, P., 1964. Le bureau de consultation de la compagnie C et sa contribution à la réhabilitation des travailleurs buveurs. Comité d'étude et d'information sur l'alcoolisme, Québec, ministère de la Famille et du Bien-être social.
Jellinek, E.M., 1960. The Disease Concept of Alcoholism. New Haven, Hillhouse Press, 246 p.
Laforest, L., 1963. La clinique d'alcoolisme de l'Hôtel-Dieu de Montréal : l'expérimentation d'une clinique externe sur l'alcoolisme. Comité d'étude et d'information sur l'alcoolisme, Québec, ministère de la Famille et du Bien-être social.
Laforest, L., 1968. Facteurs socio-culturels de l'étiologie de l'alcoolisme au Québec : quelques hypothèses de recherche. (Note de recherche), Toxicomanies. 1, 1, p. 105-110.
Langlois, H. et N. Lessard, 1964. Étude de l'influence de la publicité des brasseries sur les usagers de la télévision canadienne-française. Comité d'étude et d'information sur l'alcoolisme, Québec, ministère de la Famille et du Bien-être social.
Tremblay, M.-A., 1963. Plan directeur des études sur l'alcoolisme : essai de formulation. Comité d'étude et d'information sur l'alcoolisme, ministère de la Famille et du Bien-être social.
Tremblay, M.-A., 1966. Les fonctions de l'hôpital dans la nouvelle société. Conférence prononcée au premier congrès de l'Association des hôpitaux du Québec, Québec, 22 p.
Tremblay, M.-A., 1968. « Recherche et éducation dans le domaine de l'alcoolisme : éléments de synthèse », Toxicomanies. 1, 1, p. 79-88.
Trottier, C., 1964. Un contexte thérapeutique pour alcooliques : la Maison Domrémy de Montréal. Comité d'étude et d'information sur l'alcoolisme, Québec, ministère de la Famille et du Bien-être social.
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