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L’enseignement primaire

1881-1956

Identification

Cette revue remplace L'Ecole primaire en 1881 et est publiée sans interruption de 1881 à 1956.

Première période: 1881-1937 (v.1-v.58). Directeurs: Jean-Baptiste Cloutier jusqu'en 1890, puis Charles-Joseph Magnan de 1890 à 1937. Durant cette première période elle jouit d'une subvention gouvernementale de 1898 à 1937.

Deuxième période: 1937-1941 (v.1-v.4). La revue appartient au département de l'instruction publique qui n'indique pas de nom de directeur.

Troisième période: 1941-1956 (v.1-v.15). Directrice: Cécile Rouleau.

La revue est remplacée par L'Instruction publique en 1956.

Historique

En 1880, Jean-Baptiste Cloutier fonde la revue pédagogique L'École primaire, qu'il renomme L'Enseignement primaire en 1881. En 1885, Cloutier s'adjoint un de ses anciens élèves de l'école normale Laval, Charles-Joseph Magnan. Ce dernier devient assistant-directeur en 1889, directeur un an plus tard et finalement propriétaire de la revue en 1897 pour le demeurer jusqu'en 1937.

En lice avec le Journal de l'Instruction publique pour des subventions, L'Enseignement primaire gagne les faveurs du gouvernement en 1898 et, sur recommandation du Comité catholique du Conseil de l'instruction publique, bénéficie du statut de revue pédagogique subventionnée. Elle le demeure jusqu'en juin 1937, date à laquelle elle est cédée à la province. Sans direction affichée, elle devient l'organe d'information du département de l'instruction publique. En 1941, elle vit un troisième départ en revenant à sa formule initiale de revue pédagogique.

Les hauts et les bas de la revue

L'Enseignement primaire connaît des débuts difficiles. Jusqu'en 1898, la revue paraît deux fois par mois et compte sur les abonnements pour subsister. Son en-tête met l'accent sur les contraintes financières, en indiquant sous le nom de Cloutier, rédacteur-propriétaire: "Prix de l'abonnement: UN DOLLAR par an, invariablement payable d'avance". Ainsi, entre deux articles traitant de pédagogie, on fait la promotion des abonnements et on félicite les inspecteurs d'école qui encouragent les institutrices à souscrire à L'Enseignement primaire. D'ailleurs, le Journal de l'instruction publique ne se gêne pas pour signaler les difficultés financières de sa rivale: "Encore trois numéros et L'enseignement primaire aura terminé sa première année d'existence. Paraîtra-t-il l'année prochaine?" (1)

Les rubriques comportent une partie officielle, une section intitulée "Pédagogie", mais la majorité de l'espace est consacré à la partie pratique (leçons expliquées, exercices, dictées, etc.). Les articles traitant de pédagogie sont généralement signés par Cloutier, par Magnan ou par des inspecteurs d'école. Bon nombre d'entre eux sont anonymes ou importés de revues pédagogiques européennes.

La revue étant subventionnée à partir de 1898, sa survie ne dépend plus des abonnements. Cloutier élague considérablement l'en-tête en ne gardant que les termes suivants: "L'ENSEIGNEMENT PRIMAIRE - ÉDUCATION INSTRUCTION". De septembre 1898 à juin 1937, la revue est envoyée gratuitement, chaque mois de l'année scolaire, à toutes les écoles catholiques de la province. En devenant propriétaire de la revue, Magnan l'augmente de trente-deux pages, doublant ainsi son contenu, et y introduit des illustrations. Les différentes sections s'intitulent "Pédagogie, Méthodologie, Enseignement pratique, Le cabinet de l'instituteur, Au coin du feu, Variétés, Correspondance, Documents officiels, Chronique du mois, Bibliographie, Gravures". Si L'Enseignement primaire continue de reproduire des réflexions sur la pédagogie en provenance de l'Europe francophone, Magnan privilégie les auteurs canadiens-français. Les articles sont signés par des pédagogues, des professeurs d'école normale, des inspecteurs d'école ou des enseignants du primaire. Magnan se réserve un large espace dans la revue en rédigeant des textes pour chaque numéro, généralement dans la section "Pédagogie".

Septembre 1904 voit la naissance d'une nouvelle revue, L'École rurale, considérée comme un supplément à L'Enseignement primaire. Il s'agit d'une publication mensuelle destinée aux écoles de campagne. Les matières habituelles y sont traitées d'un point de vue rural, c'est-à-dire que tous les sujets de leçons se rattachent au monde campagnard, et les enseignants sont encouragés à développer chez leurs élèves l'attachement à la terre et aux professions rurales. Bien que publiée sous le patronage du ministère de l'agriculture, cette revue ne vivra que le temps d'une année scolaire.

En juillet 1937, Magnan quitte la direction de L'Enseignement primaire et s'explique ainsi dans une lettre adressée au Comité catholique du conseil de l'instruction publique:

En reconnaissance des bienfaits reçus du Gouvernement de ma province, du Comité catholique et du Département de l'instruction publique, je cède gracieusement ma revue à ce dernier pour qu'elle en devienne l'organe administratif sous forme d'un bulletin trimestriel. (2)
Devenu une publication au contenu purement administratif (programmes scolaires, rapports du Surintendant), L'Enseignement primaire semble remporter peu de succès auprès de ses lecteurs, aussi reviendra-t-on à sa formule initiale en 1941:

Après quatre ans de ce rôle plutôt passif, cédant aux instances d'un grand nombre d'instituteurs et aux vœux du Comité catholique, "L'Enseignement primaire", avec la permission de l'honorable Secrétaire de la Province, reparaît, aujourd'hui, sous une forme renouvelée. (3)

Cette troisième série se présente à nouveau comme un outil pédagogique, servant "tout autant à la culture du maître qu'à l'éducation de l'enfant." (4) Les éditoriaux sont signés par le surintendant de l'instruction publique ou par la directrice de la revue, Cécile Rouleau. La revue comprend désormais trois grandes rubriques: "Éducation et formation, Pédagogie et méthodologie, Renseignements et directives". Elle continue néanmoins à réserver une place importante aux programmes scolaires, allant jusqu'à leur consacrer certains numéros au complet. À partir de 1945, Roland Vinette, professeur à l'Institut de pédagogie de l'Université de Montréal et auteur d'un traité de pédagogie (5), s'impose de plus en plus dans la revue en signant des articles sur les nouvelles tendances en éducation ou en commentant les programmes scolaires. Veillant à demeurer axée sur la pratique, à partir de janvier 1948, la revue publie un supplément intitulé "Feuille de l'élève". Il s'agit d'exercices prêts à être polycopiés à la gélatine, formule accueillie avec enthousiasme par les enseignants et les inspecteurs.

Quelques mots sur Cloutier et Magnan

On ne peut passer sous silence l'influence qu'ont exercée sur la revue ses premiers directeurs, tous deux pédagogues reconnus. Cloutier et Magnan partagent avec Chauveau, le fondateur du Journal de l'instruction publique (1857), plusieurs caractéristiques: il s'agit d'êtres engagés qui croient en la pédagogie et qui s'intéressent tout particulièrement à la pédagogie européenne; tous trois parcourront l'Europe francophone pour en étudier les systèmes scolaires. Autres points communs: leur foi dans la formation des maîtres et dans leur revue pédagogique, qu'ils considèrent comme leur oeuvre.

Cloutier est tout d'abord directeur de l'école modèle de Saint-Nicolas en 1858, puis enseigne à l'école normale Laval de 1859 à 1891. Il est également l'auteur de plusieurs manuels scolaires. Dans le numéro fêtant le cinquantenaire de L'Enseignement primaire, on lui rend hommage en ces termes :

M. J.-B. Cloutier fut un éducateur chrétien modèle, un homme pieux et un patriote ardent. Professeur renseigné et expérimenté, pédagogue éclairé, esprit ouvert à toutes les saines innovations pédagogiques, ardent partisan de l'enseignement concret, imagé, intuitif, M. Cloutier fut un des pionniers de l'enseignement rationnel chez nous. (6)

Lorsque Cloutier cède la place à Magnan, il compte sur lui pour amener un vent de jeunesse dans la revue :

Les choses sont bien changées depuis dix-sept ans, les exigences ne sont plus les mêmes; on veut encore du nouveau, des améliorations que je ne me sens pas le courage d'entreprendre, et pour ne pas nuire au succès de l'œuvre que j'ai fondée, j'en ai cédé tous mes droits à mon assistant-rédacteur, M. C.-J. Magnan, déjà si avantageusement connu dans le public. En lui abandonnant la direction de L'ENSEIGNEMENT PRIMAIRE, je suis convaincu qu'il saura lui donner une nouvelle impulsion, l'augmenter et la mettre au niveau des besoins du jour. (7)

Magnan répond à ces attentes et consacre plus de cinquante ans de sa vie à cette revue pédagogique, tout en exerçant d'autres fonctions dans le milieu éducatif: il est professeur à l'école normale Laval de 1889 à 1911, inspecteur général des écoles catholiques en 1911, puis inspecteur des écoles normales catholiques en 1929. Il est également l'auteur de manuels scolaires, d'essais sur l'éducation (8) et co-auteur d'un traité de pédagogie. (9) Il s'implique dans les débats du monde scolaire en publiant ses réflexions dans L'Enseignement primaire. Il s'attaque notamment au problème de la compétence des maîtres et tente de faire appliquer au Québec les principes de fonctionnement régissant les écoles normales européennes. Il se bat également pour l'instruction obligatoire, pour la gratuité des manuels et s'engage dans la polémique opposant ultramontains et libéraux en prônant une part égale de l'Église et de l'État dans le domaine éducatif. Sur ce point, l'échange de lettres virulentes avec Tardivel, directeur de La Vérité, témoigne de ses convictions (10).

Orientation de la revue

Poursuivant sa mission amorcée avec L'École primaire, Cloutier tient à ce que sa revue ne soit pas axée sur la théorie mais sur la pratique et qu'elle offre aux enseignants des leçons toutes prêtes, immédiatement applicables en classe :

Un journal pédagogique ne doit pas être une publication où l'on s'occupe de science, de littérature ou des beaux-arts, car l'instituteur qui veut étudier les sciences, la littérature ou les beaux-arts peut facilement se procurer des ouvrages spécialisés qui traitent de ces matières, tandis que son journal, à lui, c'est celui où il trouve tout préparé son travail de chaque jour. (11)

Cloutier vise principalement à apporter un support aux jeunes institutrices qui commencent à enseigner à dix-sept ans et qui manquent d'expérience, complétant ainsi la mission des inspecteurs dans les écoles. En se fixant cet objectif pratique, Cloutier veut éviter l'erreur commise par d'autres revues pédagogiques, comme le Journal de l'instruction publique. Lors du cinquantenaire de la revue, Magnan souligne que cette mission est accomplie tout en ayant quelque peu évolué: "Ce vœu du fondateur a été respecté, mais la revue a étendu son champ d'action en ajoutant à la préoccupation pratique celle de la culture générale et de la documentation." (12)

Il apparaît clairement que Cloutier et Magnan ont insufflé leurs convictions personnelles à la revue, notamment leur foi en la "nouvelle pédagogie". Tous deux se sont intéressés de très près aux méthodes d'enseignement européennes dans le but d'en faire profiter les écoles québécoises. Dès 1880, Cloutier compte diffuser ce savoir à travers sa revue pédagogique, lorsqu'il en annonce le contenu :

Nous traiterons aussi les grandes questions pédagogiques qui occupent aujourd'hui les hommes d'école de tous les pays d'Europe, leur empruntant ce qu'ils ont de bon et de praticable pour nous, Canadiens français. (13)

Quant à Magnan, il a parcouru la France, la Belgique et la Suisse afin d'observer les pratiques en vigueur dans les établissements primaires et dans les écoles normales. Magnan se fait un devoir d'acheminer les recherches et les progrès en pédagogie jusque dans les écoles de rang. Durant la dernière décennie de la revue, Vinette prolongera l'œuvre de Magnan en s'intéressant, pour sa part, aux pédagogues américains et en s'impliquant dans une profonde remise en question du système scolaire québécois. L'Enseignement primaire a donc représenté un outil de diffusion privilégié pour ces pédagogues progressistes.

D'un autre côté, Magnan teinte la revue de ses convictions nationalistes doublées d'un puissant attachement à l'Église, comme le souligne Mgr Bégin en 1898 : "L'œuvre de Monsieur Magnan est une œuvre de dévouement à la cause sacrée de l'éducation, une œuvre à la fois patriotique et religieuse" (14). Magnan voit dans L'Enseignement primaire un outil contribuant à maintenir la "race française" en Amérique du Nord et à transmettre les valeurs chrétiennes :

Cette œuvre, par son rayonnement dans toutes les écoles catholiques de la Province de Québec et dans plusieurs groupes français du Canada et des Etats-Unis, collabore à la belle mission de l'enseignement chrétien et catholique, seule base véritable de l'ordre social, et au maintien de l'idée et de la pensée françaises, telles que nos pères les apportèrent sur nos rives au cours du grand Siècle. (15)

Cette tendance nationaliste se ranimera durant les dernières années de publication: à partir d'avril 1954, un numéro par an sera consacré à la "Survivance française" et à la fierté nationale.

Une autre valeur chère à Magnan, soit l'attachement aux traditions et à la terre, se manifeste clairement dans L'École rurale, un complément à L'Enseignement primaire, qui sera publié durant l'année scolaire 1904-1905. Magnan présente cette revue annexe comme un support pour les enseignants qui ont, selon lui, la vocation de faire comprendre à leurs élèves que l'attachement à la patrie va de pair avec l'amour de la terre.

L'Enseignement primaire s'est donc engagé dans des débats sociaux qui dépassaient son mandat pédagogique, en publiant des discours très politisés sur la langue française au Québec (16). La revue s'est impliquée dans d'autres polémiques, comme celle entourant le contrôle des lectures, en encourageant le clergé dans son œuvre de censure (17). À compter de 1946, elle prend part à la campagne de moralité publique demandée par le pape et les archevêques, campagne à laquelle participent toutes les écoles catholiques de la province.

Bibliographie

Beaulieu, André et J. Hamelin. La Presse québécoise des origines à nos jours, t. 1 (1764-1859). Québec, Les Presses de l'Université Laval, 1973.

Duval, Louise. "Quelques thèmes idéologiques dans la revue L'Enseignement primaire", Recherches sociographiques, 4, 2 (mai-août 1963):201-217.

Gagnon, Nicole. "L'idéologie humaniste dans la revue L'Enseignement primaire", Recherches sociographiques, 4, 2 (mai-août 1963):167-200.

Goyette, Gabriel. L'idéologie scolaire proposée par une revue pédagogique québécoise, 1927-1964. Thèse de doctorat, Faculté d'éducation, Université d'Ottawa, 1971.

Hamel, Thérèse. Un siècle de formation des maîtres au Québec, 1836-1939. Ville La Salle, HMH, 1995.

Labarrère-Paulé, André. Les laïques et la presse pédagogique au Canada français au 19e siècle. Québec, Les presses de l'Université Laval, 1963.

Lebrun, M. et M.L. Lefebvre. "La lecture à l'école québécoise au XIXe siècle: ce qu'en dit la presse pédagogique", dans R. Estivals (dir.), Nouvelles technologies, modèles sociaux et sciences de l'écrit, Actes du 13e colloque international de bibliologie tenu à Paris du 22 au 26 octobre 1995 (Paris, Delagrave, 1996):220-233.

Lefebvre, Marie-Louise. "Le discours sur la lecture dans la presse pédagogique à l'aube du 20e siècle", Cahiers de la recherche en éducation, 3, 3 (1996):377-392.

Nachbauer, Martine. Analyse du discours polémique sur la lecture dans la revue pédagogique québécoise " L'Enseignement primaire" (1881-1956). Thèse de doctorat en éducation, Université du Québec à Montréal, 2000.

Poirier, Claude-Anne. La dictée au Québec, entre 1898 et 1923: une leçon de langue ou une leçon de morale? Mémoire de M.A. (éducation), Université du Québec à Montréal, 1999. (Analyse des dictées proposées dans L'Enseignement primaire.)

L'Enseignement primaire comme source d'informations :

Cloutier, Jean-Baptiste. "À nos lecteurs", 2, 1 (janv. 1882):1-3.

Numéro spécial de L'Enseignement primaire consacré au cinquantenaire de la revue : 51, 5 (janv.1930).

Magnan, Charles-Joseph. "Le journalisme pédagogique au Canada français", 57, 6 (fév. 1936):345-347; 7 (mars 1936):410-411; 8 (av. 1936):490-493; 9 (mai 1936): 564-567; 10 (juin 1936):617-620.

Magnan, Charles-Joseph. Lettre annonçant qu'il se retire de la revue, 58, 10 (juin 1937):627-628.

Delage, Cyrille F. "Nouvelle Série de l'Enseignement primaire", 1, 1 (sept. 1937):2-3.

Doré, Victor, Surintendant de l'instruction publique. "À nos lecteurs", 1, 1 (sept. 1941):2-4.

Notes

(1) Journal de l'instruction publique, 1, 12(déc. 1881):371.

(2) Cyrille F. Delage, Surintendant de l'instruction publique (citant Magnan), "Nouvelle série de l'Enseignement primaire", L'Enseignement primaire, 1, 1 (sept. 1937):3.

(3) Victor Doré, Surintendant de l'instruction publique, "À nos lecteurs", L'Enseignement primaire, 1, 1(sept. 1941):2.

(4) Ibid.

(5)Roland Vinette, Pédagogie générale, Montréal, Centre de psychologie et de pédagogie, 1948.

(6) Pierre-Paul Magnan, "Biographie de M. J.-B. Cloutier - Fondateur de l'Enseignement primaire", L'Enseignement primaire, 51, 5(janv. 1930):3-4.

(7) C.-J. Magnan (citant les propos de Cloutier), "Pédagogie: cinquantenaire de l'Enseignement primaire", L'Enseignement primaire, 51, 5(janv. 1930):316.

(8) C.-J. Magnan, Honneur à la Province de Québec! Mémorial sur l'éducation au Canada, Québec, Dussault & Proulx, 1903.

(9) T.-G. Rouleau, C.-J. Magnan et J. Ahern, Pédagogie pratique et théorique à l'usage du brevet d'enseignement et des écoles normales, Québec, C. Darveau, 1901.

(10) Polémique à propos d'enseignement entre M. J.-P. Tardivel et M. C.-J. Magnan, Québec, Inprimerie de L.-J. Demers, 1894.

(11) J.-B. Cloutier, "À nos lecteurs", L'Enseignement primaire, 2, 1(janv. 1882):2.

(12) C.-J. Magnan, "Pédagogie: cinquantenaire de l'Enseignement primaire", L'Enseignement primaire, 51, 5(janv. 1930):315.

(13) J.-B. Cloutier, "L'École primaire (reproduit du premier numéro de l'École primaire, 2 janvier 1880)", L'Enseignement primaire, 51, 5(janv. 1930):319.

(14) "Mgr. L'Archevêque de Québec et l'Enseignement primaire (De L'Enseignement primaire de mai 1898)", L'Enseignement primaire, 51, 5(janv. 1930):342.

(15) C.-J. Magnan, "Pédagogie: cinquantenaire de l'Enseignement primaire", L'enseignement primaire, 51, 5(janv. 1930):318.

(16) J. Mordret,Comité permanent de la survivance française en Amérique du Nord, "Parlons bien", L'Enseignement primaire, 2, 4(déc. 1942):296-298; 5(janv. 1943):381-383; 6(fév. 1943):475-477.

(17) À titre d'exemple: Mgr Camirand, "Comment guider nos lectures", L'enseignement primaire, 56, 4(déc. 1934):221-222; 5(janv. 1935):273-274; 6(fév. 1935):339-340.
Martine Nachbauer     

Page modifiée le : 16-05-2016
 

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