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Sources imprimées

* * *

1878

xxx. Exposition scolaire de la province de Québec - Catalogue - Exposition universelle de Paris, 1878. Québec, Département de l'instruction publique, 1878. 95 p. ISBN 0-665-53551-1.

[On y trouve des listes de manuels en usage. On peut consulter le texte intégral de cette publication dans le site Notre mémoire en ligne].].

1878
xxx. High school of Montreal under the direction of the protestant board of school commissioners - Session 1878-79. Montréal, Gazette printing house, [1878]. 21 p. ICMH A- 02306.

[On indique les livres dont on se servait].

1878
xxx. Programmes détaillés mensuels pour l'enseignement dans les établissements des frères des écoles chrétiennes, Canada. Québec, Elzéar Vincent, 1878. [72] p.

[La répartition renvoie systématiquement aux manuels publiés par la communauté].

1878.04
xxx. "A MM. les Commissaires et Syndics", Journal de l'instruction publique, 22, 4-5(avril-mai 1878):56.

"Nous croyons devoir reproduire de nouveau, pour l'information des municipalités scolaires, le texte de la dernière loi - 41 Vic., chap. 6 - sur le Dépôt de Livres:

«23. Les 29e et 30e sections de la 40 Vict., chap. 22, sont rappelées et les suivantes leur sont substituées.

29. Un dépôt de livres, cartes, publications, modèles, spécimens, appareils et autres fournitures scolaires étant établi dans le département de l'instruction publique, ces fournitures pourront être vendues par le surintendant à toute municipalité scolaire, école, maison d'éducation, à tout instituteur, ministre du culte ou marchand de livres qui en fera la demande, et les commissaires ou syndics d'écoles paieront le prix de ces achats au moyen des cotisations scolaires qu'ils augmenteront en conséquence, s'il y a lieu, ou par tout autre moyen que le surintendant pourra indiquer par des règlements à cet effet, approuvés par le lieutenant-gouverneur en conseil; puis ils distribueront gratuitement les dites fournitures en conformité des dits règlements, aux enfants fréquentant les écoles tenues sous leur contrôle.

30. Les commissaires ou syndics d'écoles pourront, dans le cours de mois de juillet et août de chaque année, ou en tout autre temps, faire au surintendant la demande des livres et autres fournitures scolaires dont ils pourraient avoir besoin pour leurs écoles, et ces articles leur seront expédiés sans délai.»

Distribution gratuite signifie le contraire de vente. Il y a cependant, si nos informations sont exactes, certaines municipalités scolaires où l'on vend aux enfants les livres d'école achetés et payés au Dépôt avec l'argent du public, c'est-à-dire des parents des enfants. Avec ce système, il est évident que l'on fait payer les livres deux fois par les contribuables: une fois au Dépôt et une autre fois à l'école.

Voici de plus le 7e règlement concernant le Dépôt:

"Si les commissaires ou syndics ont pourvu par les cotisations au payement de leurs commandes, ou s'ils en ont fait retenir le prix sur leur subvention annuelle, ils distribuent les articles aux élèves gratuitement et sans délai; sinon, ils les leur vendent au prix coûtant.

«Les articles sont également vendus au prix coûtant aux enfants qui ont besoin, durant l'année scolaire, de remplacer ou de renouveler ceux qui leur avaient été distribués à titre gratuit.»

[...]

Un dernier mot. Le Surintendant désire faire connaître la détermination qu'il a prise d'exiger que l'on se serve dans toutes les écoles des livres de lecture de Montpetit. Les récalcitrants doivent se dire, une fois pour toutes, que leur opposition sera punie par le refus de la subvention scolaire."

1878.04
xxx. "Instructions concernant le Dépôt de Livres

1. Toute correspondance se fait directement avec le Surintendant.

2. Le Dépôt étant une branche distincte du département de l'instruction publique, les lettres concernant les commandes ne doivent pas traiter d'autre chose.

3. Ecrivez lisiblement, surtout la date, l'adresse et la signature, et dans la date indiquez toujours le comté après la paroisse.

4. Indiquez parfaitement par quelle voie, à quelle station de chemin de fer ou à quel port les articles doivent être expédiés.

5. En demandant un article, indiquez toujours le numéro sous lequel il est inscrit au catalogue.

6. Lorsqu'on demande un livre qui doit être expédié par la poste, il faut envoyer en même temps que l'argent les timbres pour payer les frais de port.

7. Il ne sera tenu aucun compte des demandes de livres qui ne sont pas inscrits au catalogue.

Les règlements suivants sont obligatoires [même texte pour la troisième fois]." (49-50).

xxx. "Procès-verbal des délibération du comité catholique du conseil de l'Instruction publique.

Séance du 15 mai 1878
[...]
Le rapport suivant est lu:

« Au Conseil des arts et manufactures.

Le comité nommé pour surveiller la publication du Manuel de dessin industriel à l'usage des maîtres d'écoles primaires, d'après la méthode de Walter Smith, accompagné de cahiers et de blocs-modèles à l'usage des élèves, deuxième livre, par Oscar Dunn, a l'honneur de faire rapport qu'il a examiné ce livre avec attention et qu'il l'approuve, à toutes fins que de droit, au nom de votre Conseil, suivant le pouvoir qui lui en a été donné dans votre séance de février dernier.

Québec, 19 mars 1878.»

[...].

Sur proposition de Mgr. l'archevêque, secondé par l'hon. M. Chauveau, il est résolu:

« Que ce rapport est reçu et adopté, et le dit Manuel approuvé en conséquence, et le Surintendant fera publier le dit rapport et la présente approbation dans le Journal de L'Instruction Publique et dans le Journal of Education

Proposé par Mgr. de Rimouski:

«Que ce comité recommande au Conseil des arts et manufactures d'approuver, pour l'enseignement dans les écoles tenues par les Frères des Ecoles Chrétiennes, la méthode aujourd'hui en vigueur dans ces écoles, et que le surintendant fasse connaître les vues de ce comité, à ce sujet, au Conseil des arts à sa prochaine séance.» - Adopté.

Mgr. l'Archevêque, propose:

«Que le livre intitulé Notre constitution et nos institutions, soumis par Napoléon Legendre, n'ayant pas le caractère d'un livre de classe, il n'y a pas lieu de l'approuver.

2°. Que l'Arithmétique primaire de J. C. Langelier soit référé au sous-comité permanent de l'examen des livres.

3°. Que le Cahier de composition et le Nouveau cours de colligraphie [sic] canadienne pour les écoles primaires et supérieures soient référés aux Révérends MM. Verreau et Lagacé que le comité a déjà chargés de faire une étude sur les méthodes d'écriture». - Adopté.

Il est donné lecture d'une lettre des Révérends MM. Verreau et Lagacé informant ce comité qu'ils ne sont pas encore en position de faire rapport sur les méthodes et les modèles d'écriture.

Il est aussi donné lecture du rapport suivant:

«Le soussigné, ayant été chargé par le Conseil de l'instruction publique d'indiquer et de préparer les changements qu'il convient de faire aux livres de lecture Excelsior de M. Sadlier, a l'honneur de faire rapport:
Il confirme d'abord ce qu'il a déjà fait remarquer au sujet des deux premiers livres.

Il croit qu'il ne suffira pas d'ajouter quelques pages sur l'histoire du Canada pour les autres livres.

Il est d'avis qu'il faudrait y insérer:

6 leçons sur l'histoire du Canada,
1 leçon sur la vie animale,
1 ......... la vie végétale,
1 ......... les monnaies,
1 ......... le commerce (trade & commerce),
1 ......... la physique,
1 ......... les métaux,
1 ......... le charbon,
1 ......... l'agriculture,
1 ......... la forme du gouvernement (how we are governed).

La partie canadienne, qui a dû être remaniée, n'est pas encore terminée. Si M. Saddlier [sic] peut en faire les frais, le soussigné fera préparer les autres leçons sous sa direction.

Signé: H. A. B. Verreau.»

Mgr. l'Archevêque propose:

«Que ce rapport soit adopté et que le Surintendant soit prié d'examiner ou de faire examiner les modifications que M. Sadlier fera, aux termes de ce rapport, à sa série de livres de lecture, les dits livres devant être considérés comme approuvés après cet examen.» - Adopté." (p. 52). Journal de l'instruction publique, 22, 4-5(av.-mai 1878):49-50, 52.

1878.05
xxx. "On book learning versus oral teaching", The journal of education, 22, 4-5(April-may 1878):57-58.

"In the early days of the pupil-teacher it was thought by those who superintended its working on the part of the Government, that the only instruction worth anything in the elementary schools was that which was giveen in form of oral lessons. The direct contact between the minds of the teacher and his pupils, when the instruction given without the intervention of text-books was considered of such paramount importance as to put all other forms of instruction and means of learning and account. Thus a royal road to learning had been formed, for the pupils under this system had no hard work to do in silent solitude; they were always working under the influence of excitement from class rivalry, or else listening to an oral lesson in which the lion's share of the work fell on the principal teacher, who was expected to spend most of his time in oral instruction, the classes coming to the gallery in rotation for that purpose. Had this system long continued it is probable that only a few teachers who were its victims would still survive. But its hollowness was soon perceived, and the necessity of private study with the aid of a suitable text-book, reasserted itself, whilst the special advantages of the oral lesson system, were not forgotten; and thus in time has grown up a system in which are combined the advantages of silent study from books and oral instruction in class.

The proportion to be observed between these two modes of getting instruction, varies with the age and standing of the pupil; the more advanced he becomes in age and attainments, the more he should be required to do by his own individual exertions with the aid of his silent teacher - the text-book. In this way he will gradually acquire the power of carrying on his own education; but if he has been accustomed when at school to get every idea direct from his teacher, he will be in a poor position for educating himself when his school days are ended. It should be the aim of every teacher "to make himsel useless to his pupils," that is, to train them to dispense with his help. The Press is the great educator of the age, and they are the best trained at school who are the best able to profit by the instruction awaiting them in the works of eminent authors, both past and present. Hence the most important thing in the instruction of yound pupils is to teach them to read with facility; for reading is the key of nkowledge, and a key that will certainly rust for want of use, if the pupil does not acquire the easy mastery of it before his school-days are over. And next to this in importance is instruction and guidance in the art of acquiring knowledge from a book, such as can only be obtained by questionning its pages as to their meaning, analysing, comparing, and criticising its several propositions and arguments.

It will thus appear that as a pupil advances in his school career, the oral teaching he receives should bear more directly on the subject matter of his text-books, and thus help him by degrees to acquire knowledge for himself from their pages. The oral lessons in school should either prepare the pupil for the intelligent study of his text-book, or else serve to vivify and impress the information already obtained therefrom from private study. If the subject is one that requires the elucidation of principles and the explanation of rules and definitions, then the oral lesson should preceede the study of the text-book, and vice versa, if it is one on matters of fact chiefly.

Oral lessons, pure and simple, that is, such as are given without the intervention of books at the time of the lesson, and without reference to any particular lesson in the pupil's text-book, are, it will be seen, chiefly of use in the instruction of young children, who cannot read with sufficient ease and intellitgence to gather knowledge from books. With pupils, however, of all ages, such lessons are very valuable as a means of introducing them to the study of some subject quite new to them. A series of oral lessons should always be given preliminary [57] to the methodical study of any science, by way of giving the student some general acquaintance with his new field of study, and thus preparing him for the intelligent study of its parts; for it is often impossible to appreciate the nature and bearing of any particular part of a subject without some general knowledg of its nature as a whole. Other weight reasons might be offered in favour of a preliminary course of oral lessons before requiring the pupil to study the subject from his text-book. It is certainly the easiest way of making a beginning; for in studying from text-book, either with of without a teacher'as assistance, there is in most cases not only the difficulty of acquiring new ideas, but of understanding the language used as a vehicle of these ideas; whereas in getting knowledge from the viva voce instruction of the teacher, the pupil is spared this difficulty, and has presented to him the first elementary notions of the subject in the form and manner most easy for him to appreciate. In this preliminary course of oral lessons the teacher is also able to introduce those parts which are most easily understood and best serve to enlist the interests of the learner. An author cannot do this as he is necessarily obliged to begin at the beginning - which is often the most difficult to understand - and to proceed methodically without deviating from the course which is logically suggested by the nature of the subject.

But when the pupil has been prepared for the methodical study of any branch of knowledge it is highly desirable to give him the opportunity of studying the subjects with the aid of suitable text-books. The knowledge which is obtained solely from verbal instruction is generally superficial and often inacurate. The learner must see as well as hear if he would have clear and precise ideas, he must be able to exercice [sic] his mind upon a statement until he has got to the bottom of it, and this he can do with much greater effect when he has it clearly in print before his eyes. And hence the knowledge that a pupil acquired by reading is more likely to be methodical, clear, accurate, and thorough, than that which he obtains in the more pleasant form of oral instruction. The Scholostical World."

1878.07
xxx. "Instructions concernant le Dépôt de livres", Journal de l'instruction publique, 22, 6-7(juin-juillet 1878):81-84.

[Refonte de deux textes parus antérieurement et complétés par une liste des effets disponibles au Dépôt de livres].

1878.09
xxx. "Instructions concernant le Dépôt de livres", Journal de l'instruction publique, 22, 8-9(août-septembre 1878):113-116.

[Reprise du texte paru le mois précédent].

1878.10

xxx. "Instructions concernant le Dépôt de livres", Journal de l'instruction publique, 22, 10(octobre 1878):149-152.

[Reprise du texte paru le mois précédent].

1878.11

xxx. "Instructions concernant le Dépôt de livres", Journal de l'instruction publique, 22, 11(novembre 1878):161-164.

[Reprise du texte paru le mois précédent].

1878.12

xxx. "Instructions concernant le Dépôt de livres", Journal de l'instruction publique, 22, 12(décembre 1878):177-180.

[Reprise du texte paru le mois précédent].

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