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H.F. est «vice -président Association nationale des éditeurs de livres et président de la section scolaire , scientifique et technique.»
Charge contre le gouvernement qui ne fait pas respecter sa loi qui stipule que chaque enfant doit avoir un manuel pour chacune des disciplines.
N. et A. sont «enseignants au primaire à Sherbrooke».
Charge contre les manuels scolaires qui nivellent les enfants et qui sont conçus pour répondre à des impératifs économiques d’édition. Sans le dire expressément, les auteurs privilégient l’utilisation de livres de bibliothèques: il faut «se débarrasser des manuels de lecture et [...] faire place aux livres. Aux vrais.»
Dénonciation de la méconnaissance de la grammaire dont fait preuve un professeur du cégep d’Ahuntsic dans les notes de cours qu’il distribue à ses étudiants. On y apprend qu’au seul cégep d’Ahuntsic il s’imprime 11,000,000 de pages de notes de cours par année.
Réplique au texte d’Yves Nadon et Manon Aubert. 1) Les éditeurs de manuels scolaires doivent se plier aux directives pédagogiques du Ministère de l’éducation; 2) il n’y a pas opposition mais complémentarité entre manuels et livres de lecture, d’autant plus qu’il faut des manuels dans des disciplines autres que le français.
Gervais, Lisa-Marie. “Les parents à une formalité près de la victoire - Commission scolaire des Grandes Seigneuries”, Le devoir, 12 août 2011, p. A 4. (Gratuité des manuels scolaires).
Le gouvernement injecte 20 000 000.00$ dès cette année pour l’achat de nouveaux manuels répondant au nouveau programme. La fédération des commissions scolaires estime que l’implantation du nouveau programme pour l’ensemble des cours primaire et secondaire nécessitera des déboursés de 250 000 000.00$ pour l’achat des nouveaux manuels.
Page modifiée le :
17-05-2016
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