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Sources imprimées

* * *

1915

xxx. L'uniformité des livres d'école - Liste officielle des seuls livres en usage dans les écoles de la paroisse de Saint-Jérôme. [Circulaire rédigée par les commissaires d'écoles de Saint-Jérôme (Terrebonne). On peut en consulter un exemplaire aux Archives nationales du Québec, Fonds Correspondance du département de l'instruction publique, E13/1002 1A24-2104B, dossier 84/1915].

"La commission scolaire de la paroisse de Saint-Jérôme, se conformant à la loi de l'instruction publique, a décrété que les livres seront désormais les mêmes dans toutes les écoles qui sont sous sa juridiction.

Les institutrices, les parents et les élèves devront donc se conformer à cette décision décision et ne se munir que des livres suivants:

Par les FF. des Ecoles chrétiennes

Syllabaire ou 1er livre, 1ère partie ........................................5 c.
          "            " ........................................8 c.
Lecture courante, 2ème livre ........................................20 c.
Lecture graduée, 3ème livre ........................................28 c.
Leçons de langue française, cours élémentaire ........................................20 c.
          "            " cours moyen ........................................30 c.
Arithmétique, cours élémentaire ........................................25 c.
          " cours moyen ........................................35 c.
Géographie, cours élémentaire ........................................25 c.
          " cours moyen ........................................45 c.
Histoire du Canada, cours élémentaire ........................................22 c.
           "            " cours moyen ........................................30 c.
Petite Histoire sainte du jeune âge, par J.-L. Renaudin ........................................10 c.
Psautier de David ........................................15 c.
Calcul mental, par Robert ........................................25 c.
Dictionnaire Larousse ........................................80 c.
L'Agriculture dans les écoles, par les FF. de l'instruction chrétienne ........................................25 c.
Exercices orthographiques en rapport avec la grammaire élémentaire, par E. Robert ........................................25 c.
Devoirs du chrétien, illustré ........................................25 c.
Instruction civique, par C.-J. Magnan ........................................35 c.
Calligraphie canadienne pour les écoles primaires et supérieures,
édité par la Cie J.-A. Langlais, Nos 1, 2, 3, 4, 5 et 9; l'exemplaire
........................................10 c.

On peut se procurer tous ces livres à la LIBRAIRIE PREVOST, No 4, rue Sainte-Julie, près du parc Labelle, Saint-Jérôme."

1915
xxx. Règlements du comité catholique du conseil de l'instruction publique de la province de Québec (Refondus en 1915). Québec, s.n., 1915. x, 224 p. ISBN 0-665-71164-6.

"14. Les commissaires ou syndics d'écoles ne feront usage pour toutes les écoles de leurs municipalités, que de la même série des livres classiques autorisés. Ils en feront une liste qui sera déposée dans chacune des écoles sous leur contrôle. (p. 3).

Devoirs des inspecteurs d'écoles

225. Les inspecteurs d'écoles doivent:

[...]

14. Transmettre un rapport de leurs visites aux secrétaires-trésoriers des municipali-tés scolaires visitées

[...]

Dans ces rapports, ils doivent particulièrement appeler l'attention des commissaires ou des syndics d'écoles:

1. Sur

[...]

(b) L'emploi des livres de classe autorisés; (p. 39).

[...]

Règlements concernant les instituteurs

[...]

227. Il est du devoir de chaque instituteur:

[...]

8. De ne permettre que l'usage des livres autorisés. (p. 40).

Approbation des livres de classe.

243. Toute personne qui désire soumettre un ouvrage à l'approbation du comité catholique du Conseil de l'Instruction publique doit, un mois au moins avant les sessions du comité, en envoyer un exemplaire imprimé ou clavigraphié à chacun des membres de ce comité avant que ceux-ci en autorisent l'impression. Il devra aussi en envoyer six exemplaires semblables au département de l'instruction publique en donnant en même temps le prix de chaque exemplaire et celui de la douzaine, ainsi que la mention du cours auquel il est destiné.

244. Lorsque l'examen d'un ouvrage soumis à l'approbation du comité est renvoyé à quelque personne dont il a fallu s'assurer le concours à raison de ses connaissances spéciales, le surintendant doit exiger de la personne qui demande l'approbation une somme suffisante pour la rémunérer.

245. L'éditeur de tout livre autorisé doit en déposer un exemplaire de chaque édition au département de l'instruction publique et obtenir du surintendant un certificat attestant qu'il est approuvé; et chaque fois qu'il en publiera une nouvelle édition, il devra obtenir du Surintendant un nouveau certificat attestant que telle édition est approuvée.

246. Le comité peut, quand il le juge convenable, retirer son approbation à un ouvrage qu'il aura autorisé.

A l'avenir, tout ouvrage qui recevra l'approbation du comité catholique du conseil de l'instruction publique devra porter, avec la mention de cette approbation, la date à laquelle elle a été accordée et indiquer le cours auquel il est destiné. Le défaut de se conformer à cette injonction fera perdre à l'auteur de tel ouvrage l'approbation obtenue.

247. Tout ouvrage approuvé doit porter le nom de l'éditeur et le prix de chaque exemplaire sur la couverture ou sur la page de titre; il ne peut y être inséré aucune annonce sans le consentement par écrit du Surintendant de l'Instruction publique. [43]

248. Il faut l'approbation du comité catholique pour pouvoir modifier le texte, la typographie, la reliure, le papier, etc., d'un livre approuvé. Telle approbation ne pourra être accordée que sur présentation au comité catholique d'un sommaire indiquant les changements apportés.

249. Les ouvrages recommandés pour l'usage des instituteurs ne doivent pas servir aux élèves comme livres de classe.

250. Tout livre classique devra être imprimé en caractères suffisamment gros et interlignés, et toute gravure devra être faite avec soin et sur papier de très bonne qualité. (p. 43-44).

[...]

Programmes d'études pour les écoles primaires catholiques

Section I Notes relatives à l'organisation pédagogique des écoles primaires catholiques.

[...]

X. Le manuel. - "Le meilleur livre élémentaire, écrivait Lhomond dans la préface de sa grammaire, c'est la voix du maître. Rien ne peut tenir lieu de ce secours. Prétendre qu'un livre muet puisse le remplacer c'est pure charlatanerie." Ces paroles sont très sages. Personne aujourd'hui n'est tenté d'y contredire.

Toutefois, il n'en reste pas moins indéniable que l'emploi du manuel est nécessaire. Un enseignement purement oral fatiguerait le maître et les élèves. Avec ce système il y aurait, en outre, le danger de ne laisser dans la mémoire des enfants que des impressions fugitives, et celui de condamner trop souvent à un funeste désoeuvrement toute une portion de la classe.

Ce qu'il faut éviter, c'est l'usage trop exclusif du manuel. Le maître doit se servir du manuel, il ne doit jamais en abuser et négliger la leçon orale.

Pour que toute étude d'un texte puisse être de quelque ressource pratique aux élèves, il faut que cette étude soit précédée, ou tout au moins accompagnée, d'une explication sérieuse donnée par l'instituteur. [61]

A défaut de cette explication, les élèves sont jetés sans préparation dans l'inconnu; et tous leurs efforts restent stériles, ou à peu près. La mémoire peut bien se charger de mots, mais l'intelligence est vide d'idées précises et justes. Ils sont fatalement livrés à l'ennui d'abord, à un invincible dégoût ensuite. Le livre finit par leur inspirer une horreur instinctive, dont ils auront plus tard mille peines à se défendre.

En résumé, le manuel n'est qu'un auxiliaire.
Et son utilité varie selon les spécialités. Voici, relativement à son mode d'emploi, quelques principes empruntés aux meilleurs traités de pédagogie. Dans la lecture, évidemment, le manuel est appelé à jouer un grand rôle - de plus en plus prépondérant au fur et à mesure du progrès des élèves. En catéchisme et dans les récitations de mémoire, le texte doit s'apprendre à la lettre et le livre est la condition même du travail. En histoire, le manuel n'est qu'un aide-mémoire, un moyen de recherche et de contrôle. En mathématiques et en grammaire, le tableau noir et la leçon orale sont presque tout. En géographie et dans les leçons de sciences, le livre ne peut avoir d'utilité qu'après l'étude de la carte ou l'observation des phénomènes, et son importance est bien secondaire.

Mais encore une fois, et c'est le point à retenir, toute étude dans un manuel, pour être profitable, suppose et exige des explications suffisantes et de nombreuses interrogations de contrôle.

Le livre ne devient l'ami de l'enfant que quand celui-ci le comprend bien, quand il lui sert d'auxiliaire pour retrouver les choses dont le maître lui a parlé. Il l'ouvre alors avec plaisir, et se plaît à chercher et à apprendre la leçon qui lui a été expliquée.

Mai il importe que les élèves, après avoir étudié le texte, ne soient pas forcés de le réciter mot à mot. Sans doute, le maître sera nécessairement amené à exiger le texte exact, littéral, quand il s'agira d'une définition qui ne comporte pas d'à peu près, d'une formule qui doit rester gravée dans la mémoire, des résumés de l'histoire, des prières, des leçons de catéchisme et des morceaux qui servent d'exercices de diction. Pour le reste, il acceptera volontiers tout ce qui reproduira la pensée du manuel, sous quelque forme que l'enfant l'exprime. Il encouragera même les écoliers à dire les choses à leur façon, se contentant de redresser avec douceur les incorrections de langage et les termes impropres." (p. 61-62).

1915
Boucher de la Bruère, Pierre. Rapport du surintendant de l'instruction publique de la province de Québec pour l'année 1914-1915. Québec, E.-E. Cinq-Mars, 1915. xxxii, 619 p.

Rapport de l'inspecteur G.-S. Vien (Lauzon).
"Le choix des livres de classe est de première importance et doit être fait par les commissaires; cependant, certaines commissions ne s'en occupent jamais: de là la diversité dans le choix, et il arrive que dans la même municipalité, il n'y a pas d'uniformité. L'uniformité, selon moi, par toute la province n'est ni désirable ni réalisable, mais au moins devrait-elle exister dans chaque municipalité! En grammaire et en analyse, surtout, les auteurs ne s'accordant ni dans les définitions ni dans la manière d'analyser, il est certain que cet état de choses produira de mauvais résultats." (p. 182).

Rapport de l'inspecteur A. Luther Gilman (Cowansville).
"Dans toutes les écoles, on se sert exclusivement des manuels réguliers et autorisés et, dans chaque école aussi, le cours d'étude se donne au complet, y compris le français." (p. 190).

1915
Robert, Arthur. Leçons de morale. Québec, L'action sociale, 1915. 114 p.

"124. L'uniformité des livres. - En principe l'uniformité des livres est condamnable parce qu'elle est absurde, dangereuse et tyrannique. N'est-ce pas absurde que de vouloir faire passer dans un même moule les intelligences les plus disparates? Les aptitudes ne sont pas les mêmes, et les notions les plus élémentaires de pédagogie prouvent que tel manuel peu satisfaisant pour tel genre d'élèves, devient pour d'autres un merveilleux instrument de progrès. L'uniformité des livres est dangereuse parce qu'elle conduit à la neutralité scolaire. En effet lorsque les mêmes livres seront partout obligatoires, il sera facile d'en faire accepter quelques-uns d'où seront bannies toutes traces de religion. Elle est encore tyrannique parce qu'elle tarit la source de [75] toute ambition légitime et de toute initiative privée. Avec l'uniformité des livres comment, de lui-même, quelqu'un entreprendra-t-il de publier un manuel? L'Etat l'acceptera-t-il? Sinon, l'auteur n'atteindra pas son but; si oui, il faudra lui soumettre le manuscrit avant de le faire imprimer, et partant, c'est une entrave à la liberté de l'écrivain. Avec semblable système seule une certaine classe de gens serait favorisée au détriment d'un grand nombre d'autres souvent beaucoup plus méritant. Ce serait le triomphe de la partialité et de l'injustice . - Dans quelques arrondissements, cependant, là où les besoins intellectuels des enfants sont les mêmes, avec l'assentiment des parents on peut accepter l'uniformité des livres. C'est un moyen d'éviter d'inutiles dépenses. Cette uniformité est appelée relative et n'est qu'exceptionnelle. Elle n'est et ne peut être un argument en faveur de l'uniformité absolue si chère aux partisans de l'école neutre et obligatoire." (p. 75- 76).

1915.06.30
xxx. "One text book for one subject in most schools - Quebec Department Issues New Authorised (sic) List for Protestants", Montreal Daily Star, 30 juin 1915, p. 5.

"Quebec, June 30. - The new list of authorized text-books for the Protestant schools of the Province of Quebec has just been issued by the Department of Public Instruction. This list was finally adopted at the May meeting of the Protestant Committee. The importance of the present revision lies in the fact that the principle of one book only for a subject or grade is now in operation. In the past a choice was offered between two or three authorized books, and every four years (the revision period) the school boards were required to select one book, or [o]ne graded set of books, such as the readers for each subject in the course of study, from the list.

The old system had some advantages from an educational point of view, but these were over-borne by the decided disadvantage that people who moved from one school municipality to another were frequently obliged to sacrifice an accumulated stock of school books, and buy others for their children. To many parents this was a hardship, and that fact alone is a strong justification for the adoption of the "one subject one book" principle.

Then, again, the old system hampered the dealers in school books, who were often obliged to carry various texts on the same subjects, owing to the differing choises of the school boards in the vicinity. Change of teachers in a community, also, sometimes led to a change of books without authority.

There is, however, one departure from the principle of uniformity. In some subjects there is a different book authorized "for Montreal only." Apparently this was unavoidable in some subjects.

The new list goes into force at once, and remains in force four years. The Department of Public Instruction issues copies to all interested, upon application, and it is now being circulated to the school boards." (Le Montreal Daily Star refuse la réplique que voulait publier A.W. Kneeland, responsable du sous-comité des livres auprès du comité protestant du Conseil de l'instruction publique; Kneeland à Parmelee, 14 sept. 1910, Archives nationales du Québec, E13/1006, dossier 950/1915).
1915.06.30
Boucher de la Bruère, Pierre. [Circulaire du surintendant aux secrétaires-trésoriers des écoles protestantes. On peut en consulter un exemplaire aux Archives nationales du Québec, Fonds Correspondance du département de l'instruction publique, E13/1010 1A24-2302B, dossier 1635/1915].

"Department of public instruction.

Quebec, June 30th, 1915.

To the Secretary-Treasurers of Protestant schools, Province of Quebec.

Dear Sirs,

I send you [sic] by mail or express a number of copies both of the new authorized list of text-books for the Protestant schools of the Province and of the new Course of Study. It is of the utmost importance that a copy of each shall be placed in the hands of every teacher not later than the date of reopening the schools in September, and earlier if possible. I would be greatly obliged, therefore, if you would send by mail to each of your teachers for the coming year, a copy of the text-book list and a copy of the Course of Study. Both are now in force, and every teacher should have the opportunity of studying the changes before undertaking the work of the year. I rely, therefore, upon your good-will in seeing that this distribution is made in ample time. Sufficient copies are sent, also, for the members of the School Board and yourself.

With regard to the list of text-books, you will observe that as the principle of «one subject one text-book» has been adopted, the School Board is no longer called upon to make a choice between several texts. The Course of Study also clearly shows what texts are required in the several grades.

In the Course of Study you will note that the names of the grades are no longer classified as «elementary», «model» and «academy», but that they are simply the numbers from one to eleven. Thus, what was formerly known as «second model» is now «Grade VII», and what was formerly known as «second Academy» in now «Grade X». In no case will Elementry Schools undertake more than the first grades and the schools with but one teacher will be unable to undertake more than the first six grades at most.

The new list of text-books and the new Course of Study were authorized by the Protestant Committee of the Council of Public Instruction this year. The list of text-books is in force for four years.

I wish to draw the attention of rural school boards to the emphasis laid in the Course of Study upon the teaching of Nature Study and Elementary Agriculture. Every effort is being put forth to make these subjects as effective as possible in the rural schools, and the school boards can assist in this matter by purchasing special books for the School Library and the teacher as may be needed.

I have the honour to be,

Dear Sirs,

Your obedient servant,

Boucher de la Bruère, Superintendent."

1915.10.06
xxx. "The new school text books", The Sherbrooke daily record, 6 oct. 1915, p. 1.

"Rev. E. M. Taylor was called upon for a few remarks in connexion with the new text-books. He stated that so far as elementary schools were concerned the grievance was not as well founded as many people supposed, althought a reasonable question arose as to why the academies throughout the province should be called upon to change their books whereas the schools of Montreal were permitted to use the same books as they had been using for several years.

The statement that books were changed every year admitted of another view. The history which now went off the list for elementary schools had been on since 1863, and a beautiful book, "Marsh's Story of Canada," published at 30 cents had taken its place.

One cause for trouble was that the committee in its liberality but unwisdom, had previously athorized four series of readers, but had now narrowed it down to one series, which however had been in use in the province for a number of years. The trouble had been that different municipalities had selected different series and people with large families in moving about the province had found that the books their children had been using were of no use in the other schools. Year by year this matter came up before the department and they thought it wiser to aurhorize only one series. They had lowered the price and the highest Crown reader now cost (sic) only 30 cents.

Another proof that the change in textbooks had not been so rapid as stated, was that Grafton's arithmetic had been used for sixteen years.

Years ago people had some grievance when a certain system was introduced and the prices were doubled. Now the textbook committee had gone to work and secured lower prices than in the past, for elementary schools. There was a grievance with some of the books for the High Schools." (L'inspecteur Taylor devra se justifier auprès du secrétaire du comité protestant du Conseil de l'instruction publique; Taylor à Parmelee, 9 oct. 1915, Archives nationales du Québec, E13/1006, dossier 950/1915).
1915.11
xxx. "Livres classiques canadiens", L'enseignement primaire, 37, 3(nov. 1915):187.

"Cours de littérature pour les Cours de 7e et 8e années, ainsi que pour les Brevets de capacité. - Préceptes, exercices, éléments d'histoire littéraire. «Ce cours, dit l'auteur, est en tout conforme aux programmes tracés par le Conseil de l'Instruction publique pour les cours de 7e et 8e année, ainsi que pour les brevets de capacité».

Cette affirmation de l'auteur est justifiée par le plan de l'ouvrage et l'exécution de ce plan judicieux. Nous ne croyons pas nous tromper en disant que c'est le premier traité de littérature rédigé conformément au programme du Comité catholique. Outre le mérite réel de cet ouvrage, c'est donc une qualité essentielle qui le distingue et qui le recommande aux élèves des écoles normales et aux aspirants et aspirantes aux différents brevets de capacité.

Une autre qualité du manuel, c'est la large part consacrée aux exercices et aux modèles: la partie apprise par coeur, c'est-à-dire, celle des préceptes, constitue à peu près le tiers du volume. Une place importante est faite dans le Cours à la littérature canadienne.

Le Cours de littérature vient d'être honoré de l'approbation du Comité catholique du Conseil de l'Instruction publique (séance du 22 septembre 1915). Nous en félicitons sincèrement l'auteur, une religieuse distinguée de la Congrégation de Notre-Dame de Montréal."

Page modifiée le : 17-05-2016
 

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